Bienvenue au club de ceux qui se battent contre des moulins à vent. L’homme détruit tout, salit tout, tue toute vie que se soit dans les cours d’eau ou dans la nature en général. Que ce soit les politiques ou les responsables d’entreprises industrielles de toutes natures, tous à part quelques uns se moquent éperduement de ce monde inconnu qu’est le milieu aquatique et de ces asssociations appelées AAPPMA qui prétendent les empêcher de tout faire disparaitre. J’en parle en connaissance de cause car j’en suis, en tant que Président d’AAPPMA, à la 10ème plainte pour pollution en 2011 sans compter celles qui sont passées inaperçues. Ce sont des coups d’épée dans l’eau, ils nous paient des estimations de dommages qui en aucun cas ne permettent la restauration des milieu et qui pour ces gens ne sont que de la menue monnaie. Au lieu de se battre contre des pollutions qui apparaissent, il serait plus judicieux d’essayer de faire en sorte qu’elles ne se produisent pas mais la pieuvre a tellement de bras que la lutte est inégale. A quand des lois empêchant les rejets sauvages, les épandages de lisiers et autres phosphates ou engrais, les arrosages excessifs mouillant autant les routes que les champs de maïs et les moyens de les faire respecter? Ce n’est pas pour demain, mais crois moi Fred, on va pas les lacher, même si au final on perd, ça sera pas gratuit. Amicalement, Thierry.
Monsieur Zanella,
Je tiens à vous remercier pour votre article dans le Messager portant sur la qualité de l’eau et les quantités d’eau des affluents français du Léman (pour info, la situation est identique tout autour du Léman). En effet, depuis plusieurs années, je me demandais quand est-ce que les associations de pêche et les ONG nature s’engageraient sur le sujet. Aujourd’hui avec cet article celui-ci est lancé du côté du Chablais, mais le travail va être très lourd. Je me permets donc de lancer à nouveau le paver dans la mare… à quand un contrat rivière de la Dranse et de ses vallées portant sur l’assainissement, l’alimentation en eau, l’habitat piscicole et les populations piscicoles?
Le SM3A l’a fait et les résultats apparaissent lentement mais sûrement sur l’Arve.
Au plaisir de vous rencontrer, recevez, Monsieur, mes meilleures salutations.
Bienvenue au club de ceux qui se battent contre des moulins à vent. L’homme détruit tout, salit tout, tue toute vie que se soit dans les cours d’eau ou dans la nature en général. Que ce soit les politiques ou les responsables d’entreprises industrielles de toutes natures, tous à part quelques uns se moquent éperduement de ce monde inconnu qu’est le milieu aquatique et de ces asssociations appelées AAPPMA qui prétendent les empêcher de tout faire disparaitre. J’en parle en connaissance de cause car j’en suis, en tant que Président d’AAPPMA, à la 10ème plainte pour pollution en 2011 sans compter celles qui sont passées inaperçues. Ce sont des coups d’épée dans l’eau, ils nous paient des estimations de dommages qui en aucun cas ne permettent la restauration des milieu et qui pour ces gens ne sont que de la menue monnaie. Au lieu de se battre contre des pollutions qui apparaissent, il serait plus judicieux d’essayer de faire en sorte qu’elles ne se produisent pas mais la pieuvre a tellement de bras que la lutte est inégale. A quand des lois empêchant les rejets sauvages, les épandages de lisiers et autres phosphates ou engrais, les arrosages excessifs mouillant autant les routes que les champs de maïs et les moyens de les faire respecter? Ce n’est pas pour demain, mais crois moi Fred, on va pas les lacher, même si au final on perd, ça sera pas gratuit. Amicalement, Thierry.
Monsieur Zanella,
Je tiens à vous remercier pour votre article dans le Messager portant sur la qualité de l’eau et les quantités d’eau des affluents français du Léman (pour info, la situation est identique tout autour du Léman). En effet, depuis plusieurs années, je me demandais quand est-ce que les associations de pêche et les ONG nature s’engageraient sur le sujet. Aujourd’hui avec cet article celui-ci est lancé du côté du Chablais, mais le travail va être très lourd. Je me permets donc de lancer à nouveau le paver dans la mare… à quand un contrat rivière de la Dranse et de ses vallées portant sur l’assainissement, l’alimentation en eau, l’habitat piscicole et les populations piscicoles?
Le SM3A l’a fait et les résultats apparaissent lentement mais sûrement sur l’Arve.
Au plaisir de vous rencontrer, recevez, Monsieur, mes meilleures salutations.
Dimitri Jaquet